L’attentat de Bondi a immédiatement placé le gouvernement australien sous les projecteurs. Alors que le Premier ministre et les responsables locaux ont suivi les protocoles classiques de la gestion de crise, visite sur place, soutien aux victimes et aux secours, l’exécutif a été rapidement critiqué pour un supposé manque d’anticipation face à la montée de l’antisémitisme. Cette critique, relayée par l’opposition et une partie de l’opinion, a créé un climat de tension politique dès les premiers jours.
En France, la dermatose nodulaire contagieuse est devenue un enjeu politique à part entière. La gestion sanitaire de la crise divise le gouvernement, les éleveurs et certains élus, révélant des désaccords sur la stratégie de prévention, la communication de l’État et la confiance accordée aux décisions publiques.








