Pierrick Boyer, pâtissier reconnu et passionné, revient tout juste de Vannes où il a participé à la première Coupe du Monde de la Viennoiserie. Dans notre épisode, il partage son émerveillement face à cet événement unique, marqué par la beauté de la ville, l’ambiance chaleureuse de la compétition et la fierté de représenter l’Australie. Pour lui, le plus important n’était pas le classement, mais l’expérience, l’apprentissage et l’intensité de ces moments.
La pression et le nombre d'heures passées avant et tout, et le stress, parce que c'était sa première compétition.
La préparation a été un véritable marathon. Entre la recherche de financements, la coordination avec ses fournisseurs et des heures passées à tester et affiner les recettes, Pierrick insiste sur l’importance du détail et de la technique. Le choix du beurre, ses différences entre l’Australie et la France, ou encore les contraintes techniques de la compétition ont ajouté une complexité supplémentaire. Malgré la pression et l’espace de travail réduit, il a su relever chaque défi avec énergie.
Le résultat n'était pas vraiment important, mais c'était surtout l'expérience de le faire.
Durant ces journées intenses, l’émotion était au rendez-vous. Il raconte notamment la fierté et les larmes de sa candidate lorsqu’elle a réussi un superbe pain au chocolat, un moment qui symbolise la passion du métier. Même sans atteindre le top 3, Pierrick garde de cette aventure un souvenir précieux fait de rencontres, de partage et d’inspiration. Une plongée vibrante dans le monde exigeant et enchanteur de la pâtisserie.
Les farines françaises et les farines australiennes sont très différentes



